Pourqoi le QG de campagne du président sortant de la Région Bretagne à Landerneau ?

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Par , 6 mai 2021 16 h 01 min

L’annonce faîte par l’actuel président de la Région Bretagne d’installer son QG de campagne à Landerneau va mettre l’accent sur la situation très particulière de notre département en matière d’environnement.

Un coup de projecteur sur la centrale à gaz de Landivisiau est nécessaire pour montrer qu’il s’agit du pire projet climaticide en France initié et soutenu par la région Bretagne et le Département. Elle dégagera plus de 1 million de tonnes de C02, soit l’équivalent de toute la circulation de véhicules du département. Avec un tel projet, le Finistère ne répondra pas aux obligations qui découlent de l’accord de Paris portant sur la réduction des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique.

Nous pourrons rappeler à cette occasion que la centrale fonctionnera par le moyen d’une subvention versée par l’Etat à Total d’un montant de 40 millions d’euros/an pendant 20 ans. Imaginons un seul instant ce que nous pourrions faire avec cette somme pour réduire les émissions de CO2 !

Le site de Landerneau est aussi un endroit idéal pour évoquer la nécessaire transformation du modèle agricole breton. La fuite en avant opérée actuellement vers une agriculture industrielle ne résout non seulement pas les problèmes économiques des agriculteurs, mais entraîne de graves pollutions (pollution de la Penzé, fuite du méthaniseur de Chateaulin etc…).

Le 5 mai 2021
Maela Dupas Bernadette Robic
Christophe Winckler Goulven Thomin

Finistère d’Avenir. Canton de landerneau. Du travail en matière d’environnement.

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Par , 28 avril 2021 16 h 47 min

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Plogoff chronique de la lutte. Le CLIN de Landerneau.

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Par , 24 avril 2021 15 h 09 min

L’article ci-dessous est extrait du livre “Plogoff, un combat pour demain”. On y parle de l’activité des CLIN (comités locaux d’information nucléaire) et en particulier de celui de Landerneau qui a été à l’origine de la première association écologiste dans la commune.

Le CLIN de Landerneau avait en particulier pris la charge du journal “Nukleel”, le journal des CLIN. Pendant quatre ans, malgré les moyens rudimentaires à la disposition des rédactrices et rédacteurs, il a été diffusé entre 3000 et 5000 exemplaires. Lien essentiel entre les différents comités, c’est un témoignage vivant de la lutte.

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Au moment où l’enquête publique va démarrer à Plogoff, jetons un coup d’œil sur les acteurs de la pièce. Au centre, le comité de défense de Plogoff et le conseil municipal. Autour, les Clin et Comités Plogoff mais aussi les associations de protection de l’environnement, les associations de consommateurs ainsi que la multitude de tous ceux qui, pour des raisons diverses, ont mis leur énergie au service de ce combat. En face, la machine politique et administrative, la préfecture, les forces de l’ordre.

Les Clin.

A juste titre, la publicité faite autour des longues journées de résistance de Plogoff a mis sur le devant de la scène la population de Plogoff, son comité de défense, son maire et son conseil municipal. Le rôle des Clin a été moins visible. C’était leur choix. Ils ont pourtant été un des facteurs essentiels du succès.

Qui sont-ils ? Après le CRIN de Erdeven (comité régional d’information nucléaire), les premiers CRIN de Cornouaille puis les Clin de Ploumoguer, Brest et Landerneau (comités locaux d’information nucléaire). Ils sont bientôt 70 à 80 comités couvrant toute la Bretagne et regroupés dans une coordination régionale. Chacun regroupe de 10 à 50 militants mobilisables à tout instant.

Leur première caractéristique est la jeunesse de leurs adhérents.

Les plus âgés ont autour de trente ans. Ils avaient entre 20 et 25 ans dans les années 68. Ils ont l’expérience des manifestations improvisées, des occupations d’usines et de bâtiments administratifs, des distributions de tracts, des collages d’affiches organisés dans l’urgence. Ils ont accompagné, en pensée et en actes, les travailleurs de LIP reprenant en main leur destin. Ils ont résisté à la militarisation avec les paysans du Larzac. Paysans, ils se sentent avant tout des travailleurs de la terre. Jeunes travailleurs et militants syndicalistes, ils ont secoué les vieilles routines des actions catégorielles et retrouvé la tradition des luttes anti-hiérarchiques. Ils attendent encore le second souffle de la fête qui, en 68, leur a embrasé l’imagination. Ils ont un métier, parfois de jeunes enfants. A 32 ans, ils apparaissent déjà comme les « vieux » du mouvement.

Les plus nombreux sont encore étudiants ou affrontent leurs premières années de “vie active”. Ils se sont rodés au hasard des mouvements lycéens qui, depuis 10 ans, entretiennent une agitation constructive. Ils ont connu des moments forts comme ceux de la lutte contre les “lois Debré” qui les ont vus défiler avec un entonnoir retourné sur la tête. Les plus jeunes sont encore lycéens. La catastrophe de l’Amoco Cadiz et les comités anti-marée noire ont été leur porte d’entrée dans la mobilisation antinucléaire.

Les Clin se sont organisés sur un mode « libertaire ». Ils ne sont pas déclarés en préfecture. En leur sein pas de conseil d’administration, pas de président, même pas de porte-parole. Tout se décide en assemblée générale. Les fonctions pratiques, secrétaire, trésorier, sont tournantes. Le même esprit structure la coordination régionale des comités : le secrétariat est confié à un groupe local renouvelé chaque année. Quand Plogoff est venu remplacer Ploumoguer en tête du palmarès des sites nucléaires, le Clin de Ploumoguer, riche de son expérience, s’est vu confier ce premier secrétariat régional. Quand l’enquête publique est venue concentrer la mobilisation sur Plogoff, le Clin de Plozévet, dans le Sud-Finistère a pris le relais. Cette organisation large, bien structurée, fonctionnant au consensus vivra sans heurt pendant toute la durée de la lutte. Son absence de représentation ” officielle ” sera un élément d’efficacité. Personne sur qui faire pression, personne avec qui négocier un compromis ” politiquement raisonnable “. Pas de longs et inutiles débats pour dégager une ” ligne politique “. Une seule volonté : s’opposer à la centrale. Une méthode : s’informer et informer.

Informez vous !

Une affiche de Alain Le Quernec, affichiste quimpérois, figure dans les collections de plusieurs musées d’art moderne. Elle lui a été demandée par le Clin de Landerneau (voir son histoire).

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En gros plan, le visage d’un homme. Le flash qui l’éclaire suggère qu’il est déjà trop tard. En dessous, en bandeau, le même personnage dans l’attitude connue des trois singes de la tradition asiatique. L’un a les mains sur les oreilles, l’autre sur les yeux, le dernier sur la bouche. Surtout, ne rien entendre, ne rien voir, ne rien dire.

Le message au sommet de l’affiche n’est pas un slogan. Il invite à refuser la fatalité, à écouter, à regarder, à parler :

“Nucléaire, Informez vous !”

Voir la suite sur : http://plogoff-chronique-de-la-lutte.over-blog.com/2020/01/plogoff-chronique-de-la-lutte-le-clin-de-landerneau.html

Maëla Dupas, Christophe Winckler. Une candidature écologiste dans la canton de Landerneau pour les départementales 2021.

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Par , 15 avril 2021 16 h 21 min

C’est l’année où le conseil départemental est passé à droite faute d’accord à gauche, en particulier avec les écologistes.

telegramme 20210414

https://www.letelegramme.fr/finistere/landerneau/maela-dupas-et-christophe-winckler-candidats-des-verts-dans-le-canton-de-landerneau-aux-departementales-13-04-2021-12734681.php

Pour rappel : cantonales 2015 : http://www.landerneau-ecologie.org/?p=1244

Une loi pour protéger le “Patrimoine sensoriel des campagnes”. Nouvelle victoire pour le lobby de l’agro-industrie ?

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Par , 31 janvier 2021 21 h 48 min

En pleine crise du covid l’assemblée nationale s’amuse. Son dernier gadget : une loi pour laisser chanter le coq Maurice.

Une loi surtout pour sacraliser l’odeur du lisier.

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D’abord le bruit.

Souvenons nous. Nous adorions entendre chanter le coq au matin dans la ferme. Quand le fermier et la fermière avaient accordé, au randonneur de passage, un coin dans la paille de leur grange, pour y passer la nuit. Oui il fut un temps où le concert des animaux de la ferme était un régal.

Qui a décidé que ces temps étaient révolus sinon ceux qui, refusant la qualité d’agriculteur, ont considéré que l’époque étaient venue des “paysans directeurs généraux”. Talus arasés, nitrates et pesticides à gogo, poulaillers et porcheries industrielles, course au gigantisme des engins agricoles… voilà la campagne qu’ils ont imposée avec l’aide des pouvoirs publics.

Quand il arrive qu’on entende encore chanter un coq à la campagne, on sait qu’on s’approche d’une ferme où des paysans, qualifiés “d’écolos” par les “exploitants” agricoles leurs voisins, ont décidé de refuser ce nouveau modèle de “patrimoine”.

Qui a détruit le patrimoine sonore naturel de la campagne ?

Nos députées, nos députés, se souviennent-ils que, en 1962 déjà, la biologiste Rachel Carson annonçait un “Printemps silencieux” dans une campagne où les insectes auront été éliminés par les pesticides et où les oiseaux ne trouveront plus à se nourrir.

Après le bruit, l’odeur.

Remarquer que si les médias ont fait leurs choux gras avec le chant du coq et la sonnerie des cloches, les odeurs n’ont pas eu la même publicité. Pourtant les voila qui apparaissent dans la loi. Le député UDI Pierre Morel-A-L’Huissier qui en est l’initiateur ne signale comme odeur à protéger que celle du lisier !(«La Lozère, c’est le tintement des cloches des vaches, les odeurs de lisier, les bruits de scierie.»)

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Qui se rappelle, par contre, celle du fumier sorti de l’étable, mélange lentement mûri, et encore fumant, de paille et de bouse, quand on l’étalait sur les champs. C’était le parfum habituel de la campagne et le signe qu’on était sorti de la ville pour retrouver la nature. Une sorte de madeleine de Proust qui ramène les plus anciens à leur enfance.

C’est fini. Le lisier est passé par là avec son écoeurante odeur d’ammoniac et de sulfure d’hydrogène. Et n’essayez pas, pour vous en remettre, d’aller goûter à un bol d’air marin, vous risquez d’y retrouver la même odeur d’oeuf pourri des algues vertes en putréfaction.

Quel patrimoine veulent-ils conserver ces parlementaires. L’ancien qui n’existe plus ou le nouveau qui l’a détruit ?

La loi dans le texte.

Pour éventuellement rire un bon coup, on peut aller voir le texte de loi et les débats qui l’ont entouré.

On y découvre à quoi s’occupent nos parlementaires pendant une crise sociale et sanitaire où toute décision descend du seul Jupiter.

Pour rappel.

Première étape, des journalistes en mal d’article découvrent le coq Maurice en butte aux voisins de sa propriétaire. Ailleurs c’est une cloche qui dérange. Et voilà qu’un député y voit l’occasion de sortir de l’anonymat et dépose une loi.

Ceci juste après que le lobby agro-industriel ait réussi à obtenir des mesures afin de lutter contre un prétendu “agribashing”. Ne pas oublier les élections à venir. Qui oserait, dans ce contexte demander à ce député de garder ce projet de loi dans sa poche ?

Reste alors à justifier son vote. L’enthousiasme n’est pas nécessairement au rendez-vous. Témoin le début des interventions de sénateurs et sénatrices qui tentent de se justifier pendant une commission du Sénat :

Un sénateur : “L’intitulé de cette proposition de loi inattendue et originale a pu étonner ou faire sourire. Mais elle n’est pas anecdotique et encore moins comique.”

Une sénatrice : “Cette proposition de loi peut paraître anodine à première vue, voire cocasse, mais il n’en est rien.”

Un sénateur : “La ruralité doit avoir des défenseurs ; ce texte n’est pas anecdotique. Les épiphénomènes dont il est question font sourire, mais ils reflètent une réalité durable sur le territoire”.

Voila donc une loi qui peut paraître anecdotique, comique, faire sourire, cocasse… Et qui aura cependant été votée à l’unanimité des deux chambres !

Reste à l’appliquer et c’est le conseil d’état qui douche quelque peu l’enthousiasme.

Nous reproduisons ci-dessous quelques éléments du rapport du Conseil d’Etat qui nous semblent les plus représentatifs.

Il se prononce d’abord sur la notion de « patrimoine sensoriel des campagnes françaises.

Le Conseil d’Etat ne peut, en l’état, qu’émettre un avis réservé sur cette notion telle que la proposition de loi la définit, à savoir « les émissions sonores et olfactives des espaces et milieux naturels terrestres et marins, des sites, aménagés ou non, ainsi que des êtres vivants qui présentent au regard de la ruralité un intérêt suffisant pour en rendre désirable la préservation ».

D’une part, en effet, l’intitulé-même de la notion peut prêter à équivoque dès lors que le mot « sensoriel » devrait conduire à inclure les dimensions visuelle, gustative ou tactile du patrimoine alors que la définition envisagée par le texte se limite à ses aspects sonores et olfactifs.”

Notre remarque : question patrimoine visuel aurait-il fallu y inclure les porcheries, poulaillers, serres à perte de vue… de notre paysage rural actuel ?

D’autre part, une telle définition recouvre des réalités extrêmement diverses. Elle est dès lors inévitablement source de difficultés d’interprétation et d’insécurité juridique.

Le Conseil d’état se prononce ensuite sur la notion de “campagne”.

“le champ d’application géographique de la proposition de loi soulève des interrogations. Il n’est bien sûr pas interdit, au regard du principe d’égalité, de distinguer les espaces ruraux des espaces urbains, dès lors qu’il s’agit soit de traiter différemment des situations différentes soit de déroger à l’égalité pour des raisons d’intérêt général, pourvu que la différence de traitement en résultant soit en rapport direct avec l’objet de la loi. Toutefois, une définition sans bornes du « patrimoine sensoriel des campagnes » conduirait dans de nombreux cas à traiter différemment des situations similaires ou à déroger à l’égalité sans que des raisons d’intérêt général suffisantes permettent de le justifier, s’agissant par exemple des tintements de cloches d’église, même si celles-ci résonnent davantage dans le silence de la campagne que dans le bruit de la ville”

Quant à la notion de “patrimoine”.

“Le Conseil d’Etat estime, contrairement à ce qui est envisagé par la proposition de loi, qu’il n’est pas opportun de compléter le code du patrimoine en y insérant une troisième nature de patrimoine défini comme le « patrimoine sensoriel des campagnes ». En effet, l’objet et les finalités de ce code, à savoir la préservation des œuvres humaines les plus dignes d’intérêt, sont sensiblement différents de ceux poursuivis par les dispositions de la présente proposition de loi. Un tel ajout nuirait en conséquence à la clarté et à l’intelligibilité du code et serait source de confusions quant aux régimes juridiques applicables.”

Pour ce qui est de créer dans chaque département d’une commission chargée du patrimoine “sensoriel”


“il convient d’abord de relever que la création d’une commission ad hoc dans chaque département ne sera pas de nature à simplifier l’organisation administrative et que, dans plusieurs départements urbains, son utilité restera probablement théorique. Il est également à craindre, que, selon les sensibilités et la diligence respective de chaque commission départementale, les bruits et odeurs de même nature ne soient pas protégés de la même manière, ce qui serait difficilement compréhensible pour les citoyens et juridiquement douteux au regard du principe d’égalité devant la justice compte tenu de la paralysie du droit à agir en responsabilité qui serait attachée à cette inscription.”

En résumé :

Une loi qui loin de prêter à sourire sera “source de difficultés d’interprétation et d’insécurité juridique.”

Fort heureusement elle ne sera jamais appliquée car avant que des commissions départementales du “patrimoine sensoriel” se soient mises en place et aient établi la liste des sons et des odeurs concernées, de l’eau aura passé sous les ponts.

Un exemple a suivre. 100 % des bâtiments communaux de la Ville de Besançon alimentés en électricité renouvelable.

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Par , 5 janvier 2021 15 h 03 min

Ce sera effectif au 1er janvier. Une claque à l’exception française puisque l’énergie fossile n’a plus droit de cité dans les bâtiments propriétés de la Ville ou exploités par elle. Quant à l’électricité qui alimente la grande majorité des écoles bisontines, elle est non seulement renouvelable mais également solidaire. (L’Est Républicain)

A quand la même chose à landerneau ?

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Depuis l’ accord de Paris sur le climat entré en vigueur en 2016, la France est désormais engagée dans la transition énergétique. Une avancée qui est venue alimenter ce scénario dans lequel la France pourrait produire 100 % d’énergies renouvelables d’ici 2050.

Trop cher ? Utopique ? En attendant, Anne Vignot l’avait souhaité, la ville l’a fait comme elle le dévoile dans un communiqué de presse : « En ce 1er janvier 2021, la Ville de Besançon est très fière de vous annoncer que tous ses bâtiments communaux sont désormais alimentés à 100 % en électricité renouvelable. »

Oui, tous les bâtiments

Vous voulez dire que cela concerne toutes les écoles, les enceintes sportives et culturelles , les piscines, les gymnases, la patinoire, les bâtiments administratifs, etc. ?

Directeur de la maîtrise de l’énergie pour la Ville de Besançon, Antony Joly éclaire notre lanterne : « Cela concerne 100 % des bâtiments qui appartiennent à la Ville ou qu’elle exploite, dont ses 70 écoles… »

Et l’expert d’aller plus loin : « Dans la grande majorité, nos écoles sont alimentées par une coopérative citoyenne et solidaire dont la production d’électricité est issue très largement de l’est de la France… »


Une claque à l’exception française

Sur le coup, l’exception française, à plus de 70 % issue du nucléaire, peut se rhabiller, celle de Besançon, « en bonne partie achetée par appels d’offres », est désormais issue de l’éolien, du photovoltaïque, de l’hydraulique et de centrales biomasses…

Au vu de l’urgence, la Ville de Besançon s’engage concrètement dans la lutte contre le changement climatique

« Puisque l’énergie la plus vertueuse est celle qui n’est ni produite, ni consommée, la Ville de Besançon amplifie son investissement dans la rénovation énergétique de ses bâtiments. Par ces choix, la Ville de Besançon contribue à la réduction des gaz à effet de serre et de la consommation d’énergie fossile, et à l’augmentation de la production d’énergie renouvelable. Au vu de l’urgence, la Ville de Besançon s’engage concrètement dans la lutte contre le changement climatique… »

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